De la force pour piloter une Formule 1

Imaginez, si vous le voulez bien, le mâle alpha moderne, que nous appellerons Nick. Il est assis sur le canapé de son salon et regarde la Méthode 1 un dimanche après-midi. Il a une bière dans la main droite et un paquet de chips dans la main gauche. La frustration monte alors que son pilote préféré vient de percuter le mur avec sa voiture à 160 miles par heure. Sa réaction initiale sera la frustration et il criera probablement des insultes à l'encontre de son téléviseur, laissant entendre que ce conducteur est "inutile" et que nos hommes alpha seraient sans doute capables de faire beaucoup mieux.

Bien Nick, je pourrais ne pas être d'accord que vous pourriez faire beaucoup mieux et pour cette raison.

Un impact à cette vitesse particulière, 160 mph (environ 257 kmph) comme dans le cas de Heikki Kovalainen en Espagne cette année, provoque la décélération de la voiture avec une force de 26G, c'est-à-dire 26 fois votre poids corporel. Maintenant, pensez à ceci, sa cage thoracique est fixée grâce au harnais à 5 niveaux qu'il utilisait. Les organes de votre corps sont-ils attachés ? Absolument pas, ils continuent à avancer, frappant l'intérieur de votre cage thoracique à 160 mph. C'est suffisant pour tuer nos hommes alpha en un instant. Désolé Nick, vous avez fait de votre mieux.

Cependant, ces propriétaires de voitures de F1 ne sont pas des gens ordinaires, ce sont des humains qui poussent leur santé jusqu'à des limites intenses pour leur passion. Ils suivent des programmes d'entraînement et des régimes rigoureux pour maintenir un niveau de forme physique tel que, si ce genre d'accident devait se produire, baptême de F1 Magny Cours ces personnes auraient de meilleures chances de survie. Ce n'est pas seulement la survie qui est certainement à l'esprit, mais passer par une seule compétition est un travail en soi pour un corps humain. Dans cet article, je vais tenter d'expliquer ce qu'il faut pour devenir un pilote de Formule 1. Vous serez peut-être surpris.

Lorsque nous prononçons le mot "athlète", nous pensons à des hommes et des femmes capables de courir vite, de frapper fort, de tenir plus longtemps et qui sont généralement au sommet de leur forme physique. La raison pour laquelle j'ai choisi des pilotes de F1 pour mes recherches est de révéler que l'étoffe d'un athlète fantastique provient non seulement de votre corps, mais aussi de vos pensées.

Je pense que cela est parfois négligé lorsque les gens examinent ces gars qui risquent leur vie semaine après jour pour leur passion et notre divertissement. On oublie qu'ils sont, dans l'ensemble, probablement beaucoup plus en forme que l'athlète moyen. Cela a pu être prouvé cette semaine lorsque le pilote Honda Jensen Option a terminé un triathlon en 2 heures, 22 minutes et 43 secondes. Il s'agissait d'une épreuve de distance olympique comprenant 1 500 m de natation, 42 km de vélo et 10 km d'arrivée. Terminer dans ce temps, sachant que le record olympique est de 1:48:24, est assez impressionnant quand on pense que sa tâche est de "s'asseoir dans le véhicule et de conduire". Vous pensez que notre mâle alpha Nick ferait bien de s'approcher à moins de 35 minutes du record olympique sur cette distance ?

Ils se concentrent sur ces parties pour permettre à leur corps d'endurer autant et parfois plus de 90 minutes d'accélérations à 200 mph (322 kmph) et de G latéraux/longitudinaux de 5G, à moins qu'ils ne s'écrasent, auquel cas c'est beaucoup plus comme expliqué précédemment.

Décortiquons maintenant, partie du corps par partie du corps, les raisons pour lesquelles je pense que les pilotes de Formule 1 sont souvent méconnus alors qu'ils sont probablement les athlètes les plus incroyables du monde.

Les pilotes doivent tenir la distance lors des courses, il n'y a pas de pauses où ils peuvent simplement sortir de la voiture et se calmer. Ils ne peuvent pas se rendre sur la ligne de touche pour recevoir les conseils d'un instructeur et ils n'ont jamais de mi-temps ou de temps mort. Pour les pilotes de F1, il s'agit d'une force physique continue pendant toute la durée de la course, qui, comme je l'ai déjà mentionné, peut durer jusqu'à deux heures à un niveau extrême.

L'être humain typique, c'est-à-dire vous et moi (à moins bien sûr que Lewis et Cie ne lisent ceci), a un rythme cardiaque au repos de 70 bpm. Nos pilotes ont généralement un rythme cardiaque au repos d'environ 45-50 bpm, qui s'améliore rapidement au moment de la course.